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Les effets des prestations sociales sur le niveau de vie des ménages modestes

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« Quelle que soit la situation familiale, le niveau de vie d’un ménage ne percevant pas de revenu d’activité reste inférieur, après redistribution, à celui d’un ménage gagnant un SMIC à mi-temps », indique la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) dans une étude publiée le 28 septembre dernier(1).Les diverses prestations sociales – telles que le revenu de solidarité active (RSA), les allocations logement, les prestations familiales, la prime d’activité – visent à soutenir le niveau de vie des plus modestes tout en incitant ses bénéficiaires à participer au marché du travail. Ainsi, fin 2016, une personne seule, sans enfant, sans revenu d’activité et locataire de son logement, bénéficiait de 756 € par mois de prestations, soit 272 € d’aides au logement et 484 € au titre du RSA. Tandis qu’avec un revenu d’activité égal au SMIC à temps plein, ses ressources globales atteignaient 1 300 € par mois (1 142 € net de revenu d’activité + 158 € de prestations sociales), précise la DREES. « Pour la totalité des structures familiales étudiées, lorsque le ménage ne perçoit aucun revenu d’activité, son niveau de vie est systématiquement en dessous du seuil…
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