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Les associations déplorent un plan « migrants » en deçà des besoins

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Prévu dans le programme de campagne pour l’élection présidentielle d’Emmanuel Macron, le plan relatif à l’asile et à l’immigration présenté le 12 juillet(1) est froidement accueilli par le secteur associatif. France terre d’asile constate « un décalage entre l’ambition initiale et son contenu, entre l’ampleur de la crise du premier accueil en France et le silence caractérisé autour de cette problématique incontournable ». L’association rappelle, comme le propose également Anne Hidalgo, la maire de Paris(2), son vœu de voir organiser un système qui sorte de l’« urgence durable » en répondant « aux défis du premier accueil des prétendants à l’asile en les identifiant, en les informant et en les orientant de manière digne vers un hébergement et la procédure d’asile dans des centres de premier accueil équitablement répartis ».Même si elles ne sont pas à la hauteur des besoins, plusieurs mesures du « plan d’action pour garantir le droit d’asile et mieux maîtriser les flux migratoires » font néanmoins consensus, estime France terre d’asile. Parmi elles : la création de 7 500 places en CADA (centres d’accueil pour demandeurs d’asile) en 2018 et 2019, de 5 000 places en centres provisoires…
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