Publié le : Dernière Mise à jour : 30.12.2017Lecture : 1 min.
a réagi à la déclaration du président de la République le 3 juillet devant le congrès à Versailles, et au discours de politique générale prononcé le lendemain par le Premier ministre (voir ASH n° 3018 du 7-07-17, page 5). « Les deux plus hauts personnages de l’Etat n’ont pas, malgré nos nombreuses sollicitations, évoqué la lutte contre la pauvreté et l’exclusion dans les priorités du gouvernement à l’aube de ce quinquennat », soulignent ses organisations membres dans un communiqué du 12 juillet. Le collectif réclame « une vision et un plan d’action engageant le gouvernement pour une politique globale, interministérielle, promouvant l’accès de tous aux droits de tous ». Quant au grand plan d’investissement de 50 milliards d’euros annoncé, il « aurait, pour nous, une vraie cohérence s’il incluait un plan spécifique et significatif concernant les plus fragiles des personnes vivant en France ». Le collectif rappelle son attachement « à ce que, à la veille d’une loi de programmation des finances publiques qui va fixer le cadre budgétaire des cinq prochaines années, la lutte contre la pauvreté et l’exclusion soit reconnue comme une action gouvernementale prioritaire ». Le Collectif des associations…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques