La Commission nationale consultative des droits de l'Homme a adopté, jeudi 26 janvier, une déclaration sur la situation des mineurs isolés étrangers placés en CAOMI (centres d'accueil et d'orientation des mineurs non accompagnés) à l'issue du démantèlement du bidonville de Calais, marquée du sceau de l'inquiétude, à propos de ce dispositif très critiqué, conçu à l'origine comme transitoire, dans l'urgence, sans base légale et dérogatoire du droit commun.
La Commission nationale consultative des droits de l'Homme (CNCDH) a adopté, jeudi 26 janvier, une déclaration sur la situation des mineurs isolés étrangers (MIE) placés en CAOMI (centres d'accueil et d'orientation des mineurs non accompagnés) à l'issue du démantèlement du bidonville de Calais. Une déclaration marquée du sceau de l'inquiétude, à propos d'un dispositif très critiqué (dans un rapport du 20 décembre 2016 notamment, le défenseur des droit a dressé un sombre état de lieux quant à la prise en charge assurée au sein des CAOMI). Un dispositif conçu à l'origine comme transitoire (pour une durée estimée de trois mois, avant que les mineurs puissent être orientés…
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