Le ministre de l'Intérieur a profité, jeudi 19 janvier, de ses voeux à la presse pour présenter les chiffres de la délinquance en 2016, en soulignant que ces résultats ont été obtenus "au cours d'une année particulièrement intense", marquée par la crise migratoire et plusieurs attentats, et par l'importance des violences dans le cadre familial. Un bilan cependant jugé prématuré par l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales.
Le ministre de l'Intérieur a profité, jeudi 19 janvier, de ses voeux à la presse pour présenter les chiffres de la délinquance en 2016. A trois mois du premier tour des élections présidentielles, Bruno Le Roux a souligné que les résultats obtenus en 2016 l'avaient été "au cours d'une année particulièrement intense", marquée par une crise migratoire sans précédent et plusieurs attentats. Trois grandes tendances méritent à ses yeux d'être relevées : la stabilisation de la "délinquance d'appropriation" - c'est à dire les vols en tout genre et les cambriolages -, la poursuite de l'augmentation des violences physiques non crapuleuses et des violences sexuelles et…
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