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Démantèlement de la "jungle" de Calais : les associations ont posé leurs conditions

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Tout faire pour que les expériences malheureuses pour tenter de faire disparaître le bidonville de Calais ne se répètent pas. C'est à la fois le voeu des associations, selon lesquelles le démantèlement prochain de la "jungle", dont la date n'a pas encore été précisée, ne saurait être entrepris sans garanties pour l'accompagnement des personnes, et l'engagement du gouvernement, qui promet une solution pérenne pour sortir de l'impasse créée par la crise migratoire. Mais c'est sans compter avec la résistance de certains élus, que le ministre de l'Intérieur et la ministre du Logement s'attachent à ­rassurer (voir encadré ci-dessous).Leur opposition a rapidement déclenché une passe d'armes politique : en réaction aux déclarations les plus hostiles, notamment de Laurent Wauquiez, président (LR) de Auvergne-Rhône-Alpes, une vingtaine d'édiles socialistes ont publié un "appel des maires solidaires", tandis que cinq représentants de régions, également socialistes, ont défendu "l'expérience acquise dans l'accueil des demandeurs d'asile en provenance de Calais". Alors que le gouvernement promet une coopération avec les élus après le recensement des sites ­disponibles, l'Association des maires…
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