d'évaluer les dispositifs de lutte contre le terrorisme et la radicalisation violente déjà engagés par la Chancellerie ;
de coordonner et harmoniser ces dispositifs, y compris les travaux de recherche menés en partenariat avec les administrations ;
de construire, à partir des différents travaux de recherche et des expériences déjà conduites, une doctrine d'évaluation et de prise en charge unifiée de la radicalisation violente ;
de proposer toute piste de réflexion destinée à perfectionner le dispositif existant.
En matière de lutte contre la radicalisation, "nous avons beaucoup expérimenté, beaucoup d'initiatives ont été mises en oeuvre" et "il est temps à présent d'évaluer, de prendre du recul et de voir très simplement ce qui marche, ce qui ne marche pas,…
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