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Pression associative pour clarifier l'action publique dans les campements parisiens

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En réaction aux dernières opérations policières d'évacuation, Emmaüs Solidarité et France terre d'asile ont suspendu leurs maraudes dans les campements parisiens de migrants. Une décision annoncée le 22 août, quelques jours après l'évacuation de plus de 800 migrants issus de trois campements dans le nord-est de la capitale. "Depuis le mois d'août, les opérations de la préfecture de police viennent perturber notre travail sur le terrain", explique Pierre Henry, directeur général de France terre d'asile. "Nous ne pouvons pas continuer à envoyer des équipes sur des lieux où les personnes vont se faire arrêter une heure plus tard et se voir délivrer une OQTF, cela n'a plus de sens." L'arrêt de ces maraudes de repérage et d'information devrait perdurer, selon lui, "tant que tout le monde ne se réunira pas autour de la table pour établir un protocole d'intervention".La Ville de Paris indique de son côté contester également la logique de dispersion pour éviter la reconstitution de campements, jugeant qu'"il n'est pas normal que les évacuations ne soient pas systématiquement accompagnées d'une proposition d'hébergement, ce qui est la ligne définie avec l'Etat depuis un an et demi".
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