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Pour la Cour des comptes, l'organisation et le fonctionnement des SPIP sont à revoir

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"Les lois pénales adoptées ces dernières années ont toutes eu pour objectif de favoriser la réinsertion des condamnés et de prévenir la récidive au moyen d'une individualisation des peines. Pourtant, le dispositif en vigueur comporte encore de nombreuses failles ou faiblesses, et le suivi et la prise en charge des personnes condamnées manquent parfois de cohérence et de continuité". Telle est l'opinion de la Cour des comptes qui, dans un référé adressé le 22 mars dernier au garde des Sceaux, lui soumet ses propositions pour mieux soutenir les services pénitentiaires d'insertion et de probation (SPIP), aux premières loges de la prise en charge des condamnés. Des propositions auxquelles Jean-Jacques Urvoas a répondu dans un courrier du 20 mai.
Renforcer le pilotage des SPIP
Pour la Haute Juridiction financière, les SPIP ne sont "pas suffisamment pilotés ni aidés par leur hiérarchie interrégionale". En effet, explique-t-elle, la charge de travail des conseillers pénitentiaires d'insertion et de probation (CPIP) "s'est alourdie, nuisant souvent à la qualité de la prise en charge des personnes condamnées et aux relations avec les magistrats". Et la cour regrette que cette charge de travail…
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