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Le GEPSo examine les forces et les faiblesses de différents modes de coopération

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Alors que, dans un souci de rationalisation, les pouvoirs publics incitent les structures sociales et médico-sociales à coopérer, le Groupe national des établissements publics sociaux et médico-sociaux (GEPSo) a mené une étude de terrain pour mesurer l'impact des coopérations entre les établissements et services sociaux et médico-sociaux publics sur l'accompagnement des usagers. Il a interrogé par questionnaire plus de 70 structures et mené une quinzaine d'entretiens avec des directeurs et deux institutions publiques en Loire-Atlantique. Trois types de dispositifs ont été comparés : la convention, la direction commune d'établissements et le groupement de coopération sociale et médico-sociale (GCSMS).Premier constat : quel que soit le type de coopération, une dégradation de la situation pour l'usager est "très rarement évoquée". Les résultats montrent que la convention semble la coopération "la plus efficiente en termes d'impact direct sur l'usager" et permet, selon 78 % des répondants l'ayant mis en place, "d'améliorer la diversification de l'offre et la fluidité des parcours". L'une des explications tient au fait que l'implication des professionnels a lieu dès l'origine de la convention.…
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