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De nombreuses réactions suite à l'évacuation d'un bidonville rom à La Courneuve

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Un "choc des égoïsmes" pour le président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Jean-Paul Delevoye, le "signe d'un échec des politiques publiques" pour Médecins du monde et la Fondation Abbé-Pierre, tandis que le défenseur des droits, Jacques Toubon, a déploré "l'absence de solutions pérennes" : les réactions, tant associatives qu'institutionnelles, ne se sont pas fait attendre après le démantèlement d'un camp rom jeudi 27 août à La Courneuve (Seine-Saint-Denis).
Incohérence politique
Dénommé "le Samaritain", ce bidonville -  le plus vieux de France - abritait quelques 300 personnes (80 familles) qui "vivaient là depuis sept ans [et] se retrouvent aujourd'hui à la rue, faute de solutions suffisantes et satisfaisantes", soulignent MDM et la FAP dans un communiqué commun. Alors que l'expulsion fait suite à une procédure engagée par la mairie communiste de La Courneuve, les deux associations rappellent que, "dès septembre 2014", elles avaient proposé de "co­‐construire un projet de résorption du bidonville avec l'ensemble des acteurs concernés : les représentants de l'Etat, la mairie de la Courneuve, la société civile et les habitants du Samaritain". Projet qui n'a pu…
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