Deux activités principales
Au terme de négociations avec les services de l'Etat, la Cimade a en effet "fait le choix de se retirer des centres du Languedoc-Roussillon (Nîmes, Perpignan et Sète), plutôt que de rogner encore davantage les conditions d'intervention de ses salariés dans ces centres". A compter du mois d'avril, elle n'intervient donc plus que dans 9 des 24 centres de rétention administrative en France, au lieu de 12 auparavant. Forum réfugiés-Cosi, qui intervenait déjà dans les centres de rétention de Lyon, Marseille et Nice, prend le relais en Languedoc-Roussillon.La Cimade, qui était la seule association à intervenir dans les centres de rétention jusqu'en 2010, explique défendre une approche qui structure sa mission "autour de deux activités principales : aider à l'exercice effectif…
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