Les étudiants franciliens en travail social battent le pavé parisien pour partir en stage

Alors qu'une délégation d'étudiants en travail social doit être reçue lundi 28 octobre à la direction générale de la cohésion sociale (DGCS), ils étaient entre 400 et 600, jeudi 24 octobre, à brandir leurs banderoles revendicatives et à réclamer à grand bruit, devant le conseil régional puis devant le ministère des Affaires sociales, des moyens financiers pour effectuer les stages obligatoires dans leur cursus, mis en péril par les nouvelles conditions de gratification.Une lettre ouverte a ainsi été signée par les manifestants, venus de la plupart des établissements de formation franciliens, et remise au ministère des Affaires sociales, en espérant obtenir gain de cause. Car "des fonds doivent être débloqués pour permettre la gratification", a déclaré au site des ASH Julie Watier, future éducatrice spécialisée, étudiante en deuxième année à l'institut régional du travail social (IRTS) de Montrouge et porte-parole du mouvement.
"La gratification, c'est bien...
Les étudiants attendent de même des réponses de la part de la DGCS, sur la base d'un état des lieux du nombre d'élèves n'ayant toujours pas de lieu de stage, alors que d'autres les ont déjà commencés.Futurs assistants de service…