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Loi DALO : le CESE plaide pour un plan de cohésion sociale 2011-2015

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Avancée considérable pour garantir un toit aux populations précaires, le droit au logement opposable se heurte cependant, dans son application, "à des obstacles, à des insuffisances, à des interrogations", auxquels le Conseil économique, social et environnemental (CESE) se propose d'apporter des éléments de réponse, dans un avis, adopté mercredi 15 septembre, sur la mise en oeuvre du premier chapitre de la loi DALO."Le problème le plus évident est l'absence d'un nombre suffisant de logements sociaux dans les zones dites 'tendues'", c'est-à-dire qui concentrent les entreprises et les emplois mais où les prix du logement sont les plus élevés, constate l'assemblée consultative, en citant les régions Ile-de-France, Rhône-Alpes, PACA et Nord-Pas-de-Calais.C'est aussi le cas dans les départements d'outre-mer, bref partout "où la demande de logements à bon marché est très supérieure à l'offre", poursuit le CESE, en jugeant également préjudiciable le manque de responsabilisation des collectivités territoriales en la matière, le préfet étant "seul responsable de l'application du droit au logement à travers l'utilisation du contingent de logements sociaux réservés par ses soins aux mal-logés".…
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