Nexem, l’Unisss et la Croix-Rouge déplorent l’impossibilité de revaloriser les salaires dans un secteur qui souffre du manque d’attractivité. Elles s’inquiètent aussi de l’après CITS.
A l’instar des organisations syndicales, les fédérations patronales du secteur social et médico-social à but non lucratif sont inquiets et mécontents du taux d’évolution de la masse salariale, annoncé par la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS), lors de la conférence salariale annuelle du 14 février."Le gouvernement a décidé de soutenir ce secteur, en maintenant un taux [...] de 1%, soit 204 millions d’euros en faveur des rémunérations du secteur social et médico-social", écrivait la DGCS, dans un communiqué officiel, à la sortie de la conférence. Ce taux reste inchangé depuis 2016. Ce qui fait dire à Nexem, la Croix-Rouge française et l’Unisss, qu'au contraire, le secteur "reste perçu comme une source de coût…
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