Recevoir la newsletter

Bienveilleur de nuit : l’émergence d’un nouveau métier

Article réservé aux abonnés

Le foyer Georges-Guénier, en Normandie, planche sur la définition des nouveaux visages des gardiens de nuit. Un profil professionnel encore en élaboration et qui gagnerait, selon son promoteur, à recueillir des avis d’autres structures, y compris hors du champ du handicap.
« UN GARDIEN DE NUIT PEUT SE SENTIR DEPHASE PAR RAPPORT AU RESTE DE L’EQUIPE, et donc connaître une souffrance au travail : il occupe un poste sans réellement faire partie de l’organisation, sans qu’on l’invite aux réunions… Et ce manque de lien, de cohésion, entre un homme seul qui travaille de nuit et le reste de l’équipe qui œuvre de jour est néfaste aux résidents aussi. » Fort de ce double constat, Thierry Lebreton, directeur du manoir Georges-Guénier, un foyer de vie pour aveugles et malvoyants situé à Vaudrimesnil (Manche), a entamé une réflexion autour de ce métier et dessiné les contours d’une nouvelle profession, qu’il nomme « bienveilleur de nuit ».« Nos 29 résidents sont des personnes vulnérables, fragiles sur le plan psychologique, qui entrent ici le plus souvent assez tardivement, après un accident ou une évolution de leur pathologie, le décès d’un parent, ou…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Inspirations d’ici…

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur