« Certains allocataires du revenu minimum d’insertion perçoivent, 12 ans après sa disparition, le minima social qui l’a remplacé : le revenu de solidarité active [RSA] », déplore Michaël Quernez, premier vice-président du conseil départemental du Finistère. Cela produit des parcours de vie complètement cassés. Sur le plan national, le ministère du Travail, lui, faisait observer l’automne dernier, au cours du lancement de la concertation et de l’expérimentation du service public de l’insertion (SPI), que la moitié des allocataires du RSA se le voient octroyé depuis…
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