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« Je stimule donc je suis »

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Psychologue gérontologue spécialisée en neuropsychologie, cofondatrice en 2007 d’Ologi – société intervenant auprès de malades d’Alzheimer – dont elle dirige la recherche et le développement, Magali Audes explique comment la stimulation cognitive peut ralentir l’inexorable progression de la maladie.
« Stimuler sa mémoire », les mots sont lâchés. Pour peu que des troubles cognitifs apparaissent, c’est à grand renfort de rééducation des fonctions cognitives, de rééducation à l’orientation, de stimulation/réhabilitation/remédiation cognitive(1)… que l’on s’intéressera et s’adressera désormais à vous.Les objectifs de ces approches ?→ L’optimisation du fonctionnement cognitif en exploitant les capacités préservées. La cognition mécanisée, entraînée, stimulée a remplacé la pensée qui se cherche, se construit dans un long travail d’exploration d’elle-même, du monde et des autres.→ L’amélioration de l’humeur et du comportement. Exit les troubles, les méandres infinis des caractères, création ininterrompue sans cesse modifiée par la vie, place à l’absence, la re-normalisation des comportements.→ La préservation de l’autonomie, cette autonomie dans les…
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